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Le feu d'artifice a enfin pu commencer. Comparativement à celui de l'an dernier, je l'ai trouvé fade : les gerbes se cachaient derrière la tour Eiffel pour mourrir piteusement. Exploser à quelques mètres du sol n'est pas la pire chose de ce feu d'artifice. Le son était naze : le côté gauche était trop fort quand il fonctionnait, sinon il grésillait atrocement ou ne délivrait aucune décibelle. Le côté droit, vous l'avez lu hier, ne fonctionnait pas à notre niveau. Ah les merveilles d ela technique! Il y avait aussi des projecteurs qui animaient les facades du palais de Chaillot, ce sont les trois premier rangs qui ont dû en profiter, mais pour les milliers de gens derrière c'est de l'argent balancé par les fenêtres. D'autres projecteurs éclairaient le ciel, la nuit et les nuage de poudre. Quel était le message de l'artiste? Je l'ignore. Ou alors c'était juste pour justifier son salaire? Vous n'y êtes pas allés : vous n'avez pas perdu votre soirée, c'était le feu de la honte. Comment une telle daube peut-elle représenter Paris? Ne cherchez pas, j'ai la réponse à cette question : elle ne peux pas! Voilà, c'est fini pour les articles du 14 juillet 2007. Vous voyez j'ai gardé le meilleur pour la fin. J'étais presque en colère en quittant le Champs de Mars samedi soir. |